Tout est prêt sauf le temps qui a pris ici aussi les couleurs de l’automne. Boston est une ville accueillante néanmoins et pas trop dépaysante pour un européen. C’est le commandant de bords du Boeing qui l’a dit. Après s’être extirpé d’Europe juste avant une grève des contrôleurs aériens, il faut avoir le bon dieu avec soi quelquefois, j’ai laissé toutes mes données possibles à l’administration US.
Déjà au départ l’aléatoire à voulu que je sois désigné pour une palpation intégrable. J’avoue que vu le parcours des mains du gendarme palpeur, je ne sais pas ou j’aurais pu cacher quelque chose. Si peut être dans des orifices. Mais la bienséance m’empêche de les décrire. A l’arrivée la fonctionnaire de la douane sérieusement revêche, m’a demandé avec un mouvement de recul de repousser mon smarphone posé sur le comptoir comme si j’allait activer une bombe. Puis elle m’a posé plein de questions et même quel était mon job. La réponse lui a fait ni chaud ni froid.
Le programme des festivités démarre dès mardi.